
Il est apparu que les descendants de personnes nonagénaires avaient un visage moins marqué et moins ridé que les autres personnes. Appuyant le précédant résultat, les hommes descendants de personnes nonagénaires étaient significativement perçu 1,4 fois plus jeune. Ainsi les personnes avec un ancêtre de plus de 90 ans étaient moins ridées et paraissaient plus jeunes.
Lors de l’expérience le risque cardiovasculaire des sujets était relevé à l’aide de l’échelle de Framingham. Les résultats ont montré que les personnes ayant un faible risque cardiovasculaire étaient perçue comme ayant deux ans de moins de leur âge que les autres personnes. Étant donné la nature transversale de l’étude, il est difficile d’établir un lien de cause à effet entre risque cardio-vasculaire et âge perçu. Pour cela une étude longitudinale doit être menée pour comprendre comment la tension artérielle ou des paramètres qui lui sont associés peuvent détériorer l’apparence du visage (peau, tissu sous-cutané) à travers le temps.
L’apparence est une source de motivation pour changer les comportements des personnes. Les messages de prévention contre les risques cardiovasculaires incluent rarement des arguments liés à l’apparence des personnes. Cette étude légitimise le fait que des messages de prévention pourraient utiliser un message de santé tel que : “Garder votre coeur en bonne santé – rester plus jeune”.